presque rien
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presque rien
Ce sont deux chaussures qui partent à l'aventure. Elles suivent les panneaux, continuent leur chemin. Le cuir s'élime, les lacets frottent de travers, le talon troué.
Suivant les inscriptions, elles avancent. En faisant douze fois le tour de la terre, elles se fatiguent.
Un jour les lacets se coupent, le cuir lâche sa prise, et, tenant les chaussures par le trou du talon, je les jette.
On est pas mieux pieds-nus, non ?
Suivant les inscriptions, elles avancent. En faisant douze fois le tour de la terre, elles se fatiguent.
Un jour les lacets se coupent, le cuir lâche sa prise, et, tenant les chaussures par le trou du talon, je les jette.
On est pas mieux pieds-nus, non ?
Re: presque rien
Sur mais après douze tours de terre engoncé dans des chaussures bonjour l'odeur des pieds.
Re: presque rien
sans parler des chaussettes !
des tas de trucs qui germent là-d'dans !
les pieds nus, et les chaussettes sur les oreilles qui servent d'antennes, c la classe mon ptit père.
des tas de trucs qui germent là-d'dans !
les pieds nus, et les chaussettes sur les oreilles qui servent d'antennes, c la classe mon ptit père.
Céc- Nombre de messages : 694
Localisation : Marly
Date d'inscription : 14/07/2006
Re: presque rien
Un poême de pacotille trop cher à tourner, il n'aura pas d'images pour le soutenir.
Une grande place à Barcelone. Les pigeons s’ébattent, virevoltent. Le monde tourne rond. La femme qu’il aime, ses meilleurs amis sont là. Le début.
Plus tard, un château au Havre. Les oies lui font oublier que la femme qu’il aime -est-ce la même ?- est à Barcelone. C’est gris mais ça rigole.
La fin. Paris et son ciel bleu tout froid. Il ne communique plus avec les oiseaux, les pigeons ne disent rien. Il découvre qu’il n’est plus amoureux.
Une grande place à Barcelone. Les pigeons s’ébattent, virevoltent. Le monde tourne rond. La femme qu’il aime, ses meilleurs amis sont là. Le début.
Plus tard, un château au Havre. Les oies lui font oublier que la femme qu’il aime -est-ce la même ?- est à Barcelone. C’est gris mais ça rigole.
La fin. Paris et son ciel bleu tout froid. Il ne communique plus avec les oiseaux, les pigeons ne disent rien. Il découvre qu’il n’est plus amoureux.
Re: presque rien
Cédric Casanova a écrit:Un poême de pacotille trop cher à tourner, il n'aura pas d'images pour le soutenir.
Si ça peut filer un coup de main, Calais ou Dunkerque ne sont pas très loin d'un charmant pied à terre, qui pue un peu le chat certes, mais dispo le temps d'un tournage de bord de mer.
Izvoren- Nombre de messages : 816
Date d'inscription : 19/03/2006
Re: presque rien
Why not ! Je vais commencer par les plus faciles, et si ça plait, on fera des tournages plus lourds !
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